La chasse aux sorcières de Merkel

Merkel brise tous les tabous: la fille du pasteur ose même affronter les morts quotidiennes. Froid de glace, elle cite le nombre de centaines de personnes décédées, qui seraient mortes avec ou à cause du virus. Ses larmes de crocodile ne sont pas montrées par les stations. Ce serait trop appliqué….

Merkel brise tous les tabous: maintenant, la fille du pasteur ose même aborder les morts quotidiennes. Froid comme la glace, elle cite le nombre de centaines de personnes qui seraient mortes avec ou à cause du virus. Les stations ne montrent pas leurs larmes de crocodile. Ce serait trop épais.

Tant que les directeurs des stations et les rédacteurs en chef de la presse seront fermement sous l'emprise du gouvernement, le mythe de la couronne sera systématiquement répandu et les incroyants seront persécutés. Le gouvernement serre les rênes de plus en plus brutalement, plie la loi, subordonne la population à la police et conduit les entreprises de taille moyenne à la faillite.

Après tout, Hitler a trouvé l'armée au chômage déjà en place et néanmoins il a fallu des années pour atteindre le pouvoir total; Merkel essaie de le faire plus rapidement.

L'intimidation, la dénonciation et l'alignement des médias dominent la vie publique. Jörg Schönenborn sait très bien qu'en renonçant au monopole de l'opinion, il renoncerait également à sa prétention au pouvoir. Mais il veut rester du côté des gagnants et préfère laisser son peuple préparer des déclarations au cas où, après la «vaccination», le premier souffrirait de démangeaisons insupportables, aurait d'autres symptômes grippaux forts, tomberait dans un sommeil anesthésique ou même serait mort. Puis la presse servile crie à nouveau, comme les enfants morts masqués, que cela n'a pas été prouvé, etc. Et si les premiers couples s'étonnent que la grossesse ne se produise pas, les médias grand public les accuseront d'alcoolisme. En Suède, une dizaine d'années après le scandale de la grippe porcine, les victimes continuent de réclamer une indemnisation.

La politique et les médias exploitent sans retenue l'impuissance des malades et de ceux qui ont besoin de soins. Toute considération est abandonnée. Dans la lutte pour la survie de la classe bourgeoise, la troupe de théâtre de Berlin est au top. La peur et la tension doivent être maintenues face à l'inflation totale imminente dans la population générale. Le masquage et l'exigence de distance perfide sont des moyens bien adaptés pour cela. Le salut du coude, qui symbolise en fait la distance et la volonté d'argumenter, est entré dans la société plus rapidement que le salut hitlérien.

Certains écrivains et intellectuels croient qu'ils peuvent encore sauver leur liberté en se distanciant des «deniers corona», des fous, etc., mais le pouvoir total exige une soumission totale et supprimera également la liberté des intellectuels flottants. Thomas Mann a pu déménager aux USA, Sigmund Freud a pu fuir à Londres. La Suède est trop petite et trop faible pour faire face à une vague d'émigration, peut-être que la Suisse résistera encore au totalitarisme.

https://www.rubikon.news/artikel/die-deutsche-krankheit

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