Schulz a finalement rempli ses obligations d'opposition

Après le sommet Diesel, qui a été honteux pour la classe politique, Schulz ose enfin se détacher de la ligne du gouvernement: pour briser le boycott des constructeurs automobiles et gagner en crédibilité, il exige un quota contraignant pour les voitures électriques. Il souhaite également imposer de véritables contrôles sur les gaz d'échappement et supprimer le caractère alibi des lois existantes. Du moins, c'est ce que dit quelqu'un qui est entendu maintenant. Alors que la CSU reste en mode corruption et que le plus éminent Vert, Kretschmann, est toujours d'accord, c'est un progrès.

Il s’agit d’une politique fondamentalement différente, comme si le ministre des Affaires étrangères donnait des conférences aux dirigeants soudanais, tandis que sa délégation négociait au sujet des livraisons d’armes aux parties belligérantes ou justifiait au premier ministre ses copains avec le groupe VW en trompant le public.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont marqués avec un * marqué