La science devient une putain politique

La blouse blanche de la Charité n'est pas si confuse qu'il ne comprendrait pas les vœux du gouvernement. Après s'être déjà fait un nom avec la grippe porcine, il a maintenant avancé la théorie du «porteur silencieux». Bien que quelqu'un soit en bonne santé, on dit qu'il est porteur d'un virus dangereux. C'est un non-sens scientifique (Beda. M. Stadler) mais politiquement hautement acceptable. C'est un accord mutuel: les politiciens peuvent faire ce qu'ils veulent et les scientifiques peuvent vendre des tests coûteux….

La blouse blanche de la Charité n'est pas si confuse qu'elle ne comprend pas les souhaits du gouvernement. Après avoir déjà contribué à la grippe porcine, il a maintenant avancé la théorie du «porteur silencieux». Bien que quelqu'un soit en bonne santé, on dit qu'il est porteur d'un virus dangereux. C'est un non-sens scientifique (Beda. M. Stadler) mais politiquement hautement acceptable. Une entreprise commune: les politiciens peuvent prendre le contrôle et les scientifiques peuvent vendre des tests coûteux.

Puis, juste à temps pour la réunion du Premier ministre, il a publié une étude pour démontrer le risque élevé d'infection infantile. Encore une fois sans fondement scientifique (David Spiegelhalter) mais politiquement bienvenu.

Finalement, il a inventé une deuxième vague d'infection à coronavirus. Cela n'a rien à voir non plus avec la science, mais cela profite aux politiciens.

La ministre de la Recherche, Mme Karliczek, a dû se dépêcher de mettre 150 millions d'euros à la disposition de son groupe. Jusqu'à présent, les services d'enquête des médias de qualité ont tenté de couvrir avec succès le montant des euros que son groupe reçoit pour le développement complètement inutile et dangereux d'un vaccin.

Une réponse à "Comment la science devient la putain de politique"

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont marqués avec un * marqué